Gonxha Bojaxhiu est une jeune fille
né en 1910 dans les Balkans. A 18 ans, poussée par le désir de devenir
missionnaire, elle entre dans la communauté des Sœurs de Lorette. Après sa
formation elle est envoyée à Calcutta en Inde pour enseigner auprès de filles
de bonnes familles. Mais Dieu n'appelle pas qu'une
fois pour toutes !
Lors d'une retraite spirituelle, celle qui s'appelle
désormais Sœur Térésa vit une expérience intime avec le Christ. Il lui révéla sa douleur devant la négligence envers les pauvres, son chagrin d'être ignoré d'eux et son immense désir d'être aimé par eux. Elle comprend qu'il lui fut sortir de son institut pour aller vraiment LE servir en prenant soin des plus pauvres parmi les pauvres : les vieillards mourants abandonnés de tous.
Cette décision entraine beaucoup de conséquences : plus de sécurité financière ni même de toit bien solide. Elle ne sait pas comment s'y prendre, elle part à l'aventure dans une réalité difficile. Elle visite des familles dans des bidonvilles, elle commence par prendre soin d'un vieillard malade allongé dans la rue et d'une femme tuberculeuse mourant de faim. Aujourd'hui les Missionnaires de la Charité sont sur tous les continents.
Mère Térésa avait compris dans le silence de la prière que vouloir servir le Christ était un chemin permettant de vivre heureux. Loin de la facilité, l'attention aux plus nécessiteux donnait un sens à sa vie, un réel rayonnement autour d'elle. Elle avait simplement cheminé avec le désir de correspondre au de Dieu. L’Église l'a reconnue bienheureuse en 2002.
(Article du livret « Mag JM – Oct. – Nov. – Déc. 2015 page 3)
Lors d'une retraite spirituelle, celle qui s'appelle
désormais Sœur Térésa vit une expérience intime avec le Christ. Il lui révéla sa douleur devant la négligence envers les pauvres, son chagrin d'être ignoré d'eux et son immense désir d'être aimé par eux. Elle comprend qu'il lui fut sortir de son institut pour aller vraiment LE servir en prenant soin des plus pauvres parmi les pauvres : les vieillards mourants abandonnés de tous.
Cette décision entraine beaucoup de conséquences : plus de sécurité financière ni même de toit bien solide. Elle ne sait pas comment s'y prendre, elle part à l'aventure dans une réalité difficile. Elle visite des familles dans des bidonvilles, elle commence par prendre soin d'un vieillard malade allongé dans la rue et d'une femme tuberculeuse mourant de faim. Aujourd'hui les Missionnaires de la Charité sont sur tous les continents.
Mère Térésa avait compris dans le silence de la prière que vouloir servir le Christ était un chemin permettant de vivre heureux. Loin de la facilité, l'attention aux plus nécessiteux donnait un sens à sa vie, un réel rayonnement autour d'elle. Elle avait simplement cheminé avec le désir de correspondre au de Dieu. L’Église l'a reconnue bienheureuse en 2002.
(Article du livret « Mag JM – Oct. – Nov. – Déc. 2015 page 3)
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