samedi 12 décembre 2015

La couronne de l’Avent, le sapin, la crèche, le Père Noël...Quelles significations et quels rapports avec la Foi ?

La couronne de l’Avent
Il semble que les premières couronnes de l’avent soient apparues au nord de l’Allemagne au 16ième siècle, pour préparer les chrétiens à la fête de Noël qui allait venir dans quatre semaines. En Suède la couronne est réservée pour la St Lucie le 13 décembre.
Cette couronne est faite de branchages de pin arbre toujours vert pour signifier la vie. Elle est nouée par un ruban rouge et ornée de pommes de pins.
La couronne est un ancien symbole aux significations multiples. Les couronnes rondes évoquent le soleil et annoncent son retour. La couronne est un cercle qui rappelle que le temps des fêtes nous revient à chaque année. Il symbolise aussi que Jésus va revenir, que l’Avent n’est donc pas seulement l’attente avant Noël, mais aussi bien l’attente du Retour du Christ.
La couronne de l’Avent peut être placée sur une table avec quatre bougies ou sur la porte d’entrée de la maison.

Les quatre bougies de l’Avent
Les quatre bougies allumées sont le symbole de la lumière de Noël qui approche et qui apporte l’espoir et la paix. Chaque dimanche de l’Avent, on en allume une de plus. Plus la fête approche, plus il y a de lumière. C’est un pasteur luthérien allemand, après la première guerre mondiale, qui a pris l’initiative de placer les bougies allumées sur la couronne.
Ces bougies symbolisent les grandes étapes du salut avant la venue du messie.
* La première est le symbole du pardon accordé à Adam et Ève
* La deuxième est le symbole de la foi d’Abraham et des patriarches qui croient au don de la terre promise
* La troisième est le symbole de la joie de David dont la lignée ne s’arrêtera pas. Elle témoigne de l’alliance avec Dieu
* La quatrième est le symbole de l’enseignement des prophètes qui annoncent un règne de justice et de paix
Actuellement pour la messe dans les églises catholiques, pendant l’Avent on allume progressivement les quatre bougies, mais le symbolisme des étapes du salut n’est pas exprimé.

Le sapin de Noël
Dès le XIe siècle des sapins sont installés pour Noël sous le porche et dans les églises. Le sapin est un arbre qui garde sa verdure en hiver. Cet arbre est le symbole de la vie au cœur de l’hiver.
"L’arbre de Noël" décoré (ou arbre du Christ) apparaît en Alsace en 1521. On l’installe dans les maisons pour les fêtes de Noël
En 1560, les protestants, réticents pour représenter la nativité par une crèche comme les catholiques, préfèrent le sapin de Noël, arbre qui symbolise l’arbre de vie du paradis d’Adam et Ève. Le sapin de Noël se répand dans les pays protestants en Allemagne et en Scandinavie.
Au XVIIème siècle, il commence à être illuminé avec des petites bougies. Les flammes évoquent la lumière que Jésus venant dans le monde apporte à tous les hommes. Une étoile au sommet de l’arbre rappelle l’étoile de Bethléem qui brille dans la nuit.
En France, l’arbre de Noël fut introduit à Versailles en 1738 (peut-être en 1837) et la coutume se développa au milieu du XIX e siècle et se généralisa après la guerre de 1870.
En Italie, Le sapin de Noël se fait le 08 décembre par tradition (un jour férié en Italie).
Alors que nous avons tendance à considérer le sapin de Noël comme un symbole païen, il est souhaitable de prendre conscience des aspects chrétiens de l’arbre de Noël illuminé : le Christ nous apporte la vie et éclaire notre existence. La coutume du sapin de Noël résulte de la combinaison de deux symboles chretiens du Moyen-Age : la lumière de Noël et l’arbre du Paradis.

Le Père Noël
C’est l’évêque St Nicolas qui a inspiré l’image du père Noël. St Nicolas, qui était fêté le 6 décembre, était représenté avec une longue barbe blanche et un costume rouge. Il voyageait dans un traîneau tiré par des rênes et apportait des cadeaux aux enfants. Mais il était accompagne du " père fouettard". Il a été importé aux États-Unis au XVIIe siècle par les immigrés allemands ou hollandais. Il s’est transformé en un père Noël plus convivial.
En 1821, un pasteur américain Clément Clarke Moore écrivit un conte de Noël où apparaît le père Noël. En 1931, la figure du père Noël fut popularisée par une image publicitaire de Coca-Cola : une figurine sympathique, un air jovial et une attitude débonnaire. Ainsi, pendant près de 35 ans, Coca-Cola diffusa ce portrait du père Noël dans la presse écrite et, ensuite, à la télévision. Elle a traversé l’Atlantique avec les soldats américains de la seconde guerre mondiale. Certains enfants écrivent une lettre au Père Noël pour lui indiquer ce qu’ils désirent comme cadeaux.
La popularité du Père Noël, qui a contribué à laïciser la fête de Noël, a suscité un mouvement de protestation de la part des catholiques. Certaines manifestations allèrent même jusqu’à brûler l’effigie du Père Noël. En effet la nuit du 24 décembre est celle de l’enfant Jésus qui lui aussi donnait des cadeaux aux enfants. Actuellement très peu de parent chrétien disent à leurs enfants que c’est Jésus qui apporte les cadeaux.

La crèche
Le mot "crèche" désigne une mangeoire pour les animaux. Selon l’évangile de Luc (2/7), Marie a déposé l’enfant Jésus dans la crèche de l’étable où Joseph et elle avaient trouvé refuge. Par extension, le mot crèche désigne l’étable ou la grotte ou est né Jésus.
La crèche, comme reproduction de l’étable, est apparue en Italie au XV e siècle. Les personnages sont ceux qui figurent dans les évangiles : Marie, Joseph, l’enfant Jésus, les bergers avec leurs moutons. La tradition, à la suite de l’évangile apocryphe du Pseudo-Matthieu (6e ou 7e siècle), y a ajouté l’âne et le bœuf. Au moment de l’Épiphanie, on y introduit les Rois mages. Les crèches d’église se répandent au XVI e et les crèches familiales au XVIII e. Au XIX e et XX e siècle, les santons de Provence sont venus enrichir le nombre des personnages traditionnels.
La crèche nous aide à vivre le sens de la fête de Noël en nous montrant que Dieu a pris notre condition humaine et comment à voulu naître le fils de Dieu. La crèche peut être l’occasion de prier en famille pendant le temps de Noël et de passer dans une église avec les enfants pour voir la crèche et se recueillir devant elle.




(Extrait de l'article "La couronne de l’Avent, le sapin, la crèche, le Père Noël...Quelles significations et quels rapports avec la Foi ?" du site : https://qe.catholique.org)

En route vers Noël : le temps de l'Avent ! Yvon Garel

Quelle est la signification du mot "Avent" ?

À l’origine, c'est un terme grec "parousia" employé dans l'Église des premiers siècles, traduit en latin par "adventus", qui signifie venue, arrivée d'un empereur. Pour les chrétiens, ce terme classique désigne la venue du Christ parmi les hommes. Depuis le pape Grégoire le Grand, l'Avent représente la période de la préparation de la venue du Christ. C'est le Concile de Saragosse en 380 qui définit les règles du temps de l'Avent, appelé à l'époque le "carême de Noël".

L'histoire de l'Avent

Dès la fin du IV° siècle, il existe à Ravenne, ville byzantine en Italie, en Gaule et en Espagne une préparation ascétique aux fêtes de Noël. Il y a en Gaule un jeûne de trois jours par semaine. Cet aspect ascétique est sans doute lié à la préparation du baptême administré à cette époque à l'Épiphanie.
Dans la liturgie de Rome, l'Avent apparaît, plus tard, dans la seconde moitié du VI° siècle. C'est un temps de préparation sans doute, mais il est sans considérations ascétiques. Il fut réduit à quatre semaines et devient l'attente joyeuse de l'avènement du Seigneur, sans l'observance d'un jeûne. La pratique romaine s'impose en France au VIII° siècle.

Les deux parties du temps de l'Avent

Le temps de l'Avent comporte deux parties. La première partie est constituée par les trois premiers dimanches : le premier invite à veiller dans l’attente du Seigneur, le second fait entendre la voix de Jean-Baptiste qui incite à « préparer les chemins du Seigneur », le troisième appelle à la joie car « le Seigneur est proche ». La deuxième partie est constituée par la semaine avant Noël, directement ordonnée à la préparation de Noël en annonçant les événements qui précèdent immédiatement la naissance du Christ.
Les ornements liturgiques (chasuble, étole, voile du calice, pendentif du pupitre de la parole) sont de couleur violette, comme pour le carême, symbole de conversion et de préparation à la rencontre du Christ. Mais pour le 3ème dimanche de l'Avent, "dimanche de gaudete" (réjouis toi), la couleur est le rose afin de signifier l'attente joyeuse du chrétien.

Des fêtes qui marquent le temps de l'Avent

Fête de saint Nicolas le 6 décembre, importante en Allemagne, en Autriche, en Belgique, aux Pays Bas et dans le nord et l'est de la France (en Lorraine surtout) Les enfants reçoivent des petits cadeaux le jour de la fête de St Nicolas.
Fête de l'Immaculée Conception de la Vierge Marie le 8 décembre : Marie préservée du péché originel pour devenir la mère de Dieu. Ce jour-là, c’est la fête des lumières à Lyon.
Fête de Sainte Lucie le 13 décembre, spécialement fêtée dans certains pays comme la Suède et la Norvège ou elle annonce que la lumière va revenir. C'est le jour où l'on donne les cadeaux. Elle est aussi très fêtée en Sicile ou est née Sainte Lucie et en Italie. C'est à la Sainte Lucie, que l'on donne les cadeaux dans certaines régions d'Italie. Le nom de Lucie trouve son origine dans le mot latin "lux" la lumière.

La couronne de l'Avent

Cette tradition populaire pré-chrétienne apparue, au XVIe siècle, au nord de l’Allemagne, est devenue un symbole chrétien de l’Avent qui se répandit ensuite dans de nombreux pays. Faite de branchages de pin, arbre toujours vert pour signifier la vie, la couronne est nouée par un ruban rouge et ornée de pommes de pins.
Antique symbole de victoire et de gloire, la couronne de l’Avent revêt des significations multiples : annonce du retour du soleil, rappel du cycle des fêtes liturgiques, attente du Retour du Christ.
La couronne de l'Avent peut être placée sur une table avec quatre bougies ou sur la porte d'entrée de la maison.

Les quatre bougies de l'Avent Placées sur la couronne, elles symbolisent les quatre dimanches qui préparent à la fête de Noël, marquant ainsi les grandes étapes du salut avant la venue du messie.
La première : symbole du pardon accordé à Adam et Ève.
La deuxième : symbole de la foi d'Abraham et des patriarches qui croient au don de la terre promise.
La troisième : symbole de la joie de David dont la lignée ne s'arrêtera pas. Elle témoigne de l'alliance avec Dieu.
La quatrième : symbole de l'enseignement des prophètes qui annoncent un règne de justice et de paix.

Le calendrier de l’Avent

Il prend sa source en Allemagne au 19e siècle : certaines familles protestantes avaient coutume de mettre, chaque matin, une image pieuse au mur, et cela durant vingt-quatre jours pour d’attendre le jour de Noël. C’est en 1920 qu’est apparu le premier calendrier de l’Avent, en version commerciale, avec ses petites portes ou fenêtres à ouvrir. Et aujourd’hui le calendrier de l’Avent envahit les étals de supermarché : l’aspect religieux n’y est guère mis en avant !
Dans nos écoles redonnons-lui son sens : Chaque jour, une petite phrase qui facilite la prière du jour et met en marche vers la fête de la venue du Christ à Noël.

Les marchés de Noël

Pendant le temps de l'Avent les marchés de Noël ont une grande place. On y achète des décorations de Noël, des sapins, des jouets pour les enfants, des cadeaux, des friandises, des victuailles... Mais il ne faut pas réduire le mot "marché" à son sens mercantile. Bien sûr, les marchands vendent et les acheteurs achètent. Mais ces marchés sont, avant tout, prétexte à rencontres, à retrouvailles, à fêtes entre amis et en famille. C'est pour l'ambiance qu'on les fréquente. Ils ont une grande place en Allemagne et en Alsace.

Pour méditer avec les quatre bougies de l'Avent

Première bougie : Encore un peu de temps,
C'est le temps de l'Avent,
Encore un peu de temps,
Pour que vienne l'enfant.
Voici la bougie de mon sourire
Pour te dire Seigneur
Que je t'attends résolument

Deuxième bougie : Encore un peu de temps,
C'est le temps de l'Avent,
Encore un peu de temps,
Pour que vienne l'enfant.
Voici la bougie de ma prière,
Qu'elle éclaire Seigneur,
Tous les amis qui sont ici

Troisième bougie : Encore un peu de temps,
C'est le temps de l'Avent,
Encore un peu de temps,
Pour que vienne l'enfant.
Voici la bougie de mon silence,
Pour que vienne la Paix
Au fond des cœurs comme un secret.

Quatrième bougie : Encore un peu de temps,
C'est le temps de l'Avent,
Encore un peu de temps,
Pour que vienne l'enfant.
Voici la bougie de ma tendresse,
Pour que naisse au grand jour,
Le don si grand de ton amour.

Document issu de sitEColes – octobre 2014 - "Article d'Yvon Garel"

8ème RENCONTRE : REUNION DU 05 DECEMBRE 2015

RAPPEL DU TEMPS DE L'AVENT - RÉPÉTITION CHANTS ET MIMES

 L’Avent
Temps de l’attente
Temps de la conversion (on prépare son cœur)
Temps de prière
Qui débouche sur Noël : temps de joie «Heureux»
Temps de partage, rencontre familiale, etc.

 

Quelle est la signification de l’Avent?



Le temps de l’Avent (du latin adventus, « venue, avènement »). s’ouvre le 4e dimanche précédant Noël.
L’Avent est la période durant laquelle les fidèles se préparent à célébrer simultanément la venue du Christ à Bethléem il y a deux mille ans, sa venue dans le cœur des hommes de tout temps et son avènement dans la gloire à la fin des temps : « Il est venu, Il vient, Il reviendra ! ».

L’Avent est la période durant laquelle les fidèles se préparent intérieurement à célébrer Noël, événement inouï, et décisif pour l’humanité, puisque Dieu s’est fait homme parmi les hommes : de sa naissance à sa mort sur la Croix, il a partagé en tout la condition humaine, à l’exception du péché.
Cette préparation de l’Avent est d’autant plus importante qu’il s’agit aussi de célébrer la venue du Christ dans le cœur des hommes de tout temps et son avènement dans la gloire à la fin des temps.
Chacun est appelé à la vigilance et au changement de vie. La parole des Prophètes, qui retentit en chaque liturgie dominicale de l’Avent, redit la nécessité de la conversion et de la préparation du cœur, comme le rappellent également les autres lectures de la messe.
Le début de l’Avent marque aussi l’entrée dans une nouvelle année liturgique : celle-ci commence chaque année avec ce temps de préparation à Noël, pour s’achever une année plus tard à la même période.

L’Avent, comme l’ensemble du calendrier liturgique catholique, aide les fidèles à revivre les grands événements de la vie et de l’enseignement du Christ, en particulier de sa naissance (Noël) à sa Résurrection (Pâques).


L’Avent dans la Bible

Pendant les messes de l’Avent, les lectures rappellent d’abord la longue attente par les Hébreux du Sauveur annoncé par Dieu : « Un rameau sortira de la souche de Jessé (père de David), un rejeton jaillira de ses racines. Sur lui reposera l’esprit du Seigneur : esprit de sagesse et de discernement, esprit de conseil et de force, esprit de connaissance et de crainte du Seigneur. Il ne jugera pas d’après les apparences, il ne tranchera pas d’après ce qu’il entend dire. Il jugera les petits avec justice, il tranchera avec droiture en faveur des pauvres du pays…» (1).
Les lectures de l’Avent rappellent également comment fut conçu et attendu l’enfant Jésus : l’ange Gabriel apparaît à Marie et lui annonce qu’elle va « concevoir et enfanter un fils ; tu lui donneras le nom de Jésus (…) L’Esprit Saint viendra sur toi, et le puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c’est pourquoi celui qui va naître sera saint, et il sera appelé Fils de Dieu » (2).
Jean-Baptiste, fils d’Elizabeth et cousin de Jésus, appelait ses prochains à la conversion et annonçait la venue imminente du Fils de Dieu en ces termes : « Moi, je vous baptise dans l’eau, pour vous amener à la conversion. Mais celui qui vient derrière moi est plus fort que moi, et je ne suis pas digne de lui retirer ses sandales. Lui vous baptisera dans l’Esprit Saint et dans le feu » (3).
De même, le temps de l’Avent appelle à la conversion intérieure. Les célébrations rappellent, en permanence et avec force, que les fidèles doivent être mobilisés spirituellement pour que la foi soit un ferment constant de renouvellement personnel et social autant que de confiance dans l’avenir.
(1): Livre d’Isaïe (11, 1-10)
(2) Évangile selon saint Luc (1, 26-38)
(3) Évangile selon saint Marc 1,1.8 et selon saint Jean 1,19.28


(Extrait de l'article "Église catholique : le sens de l'avent" du site : http://www.eglise.catholique.fr)

    Annonces

* Mardi 8 décembre, fête de l’Immaculée Conception, messe. Rdv à 18 heures !


* Répétition avec le groupe théâtre pour la veillée de Noël, le mercredi 23 décembre 2015

7ème RENCONTRE : REUNION DU 28 NOVEMBRE 2015


RÉALISATION DE TRAVAUX MANUELS, RÉPÉTITION DE CHANTS ET MIMES :

Réalisation de "Boules de sapin de noël version Kréyol !"
à l'aide de pommes de pins,
Samedi 28 novembre 2015






vendredi 27 novembre 2015

« DESTINATION BONHEUR. VIVONS LE DEFI DES B-ATTITUDES »



Notre société est engluée dans le matérialisme et l’attrait de la finance. Nous débordons de gadgets qui s'entassent dans nos placards ou encombrent le sol des chambres d’ados, les vide -greniers se multiplient pour tenter de nous débarrasser de ce trop-plein d'affaires qui nous envahit et nous étouffe.

6ème RENCONTRE : REUNION DU 21 NOVEMBRE 2015


DÉROULEMENT DE LA RENCONTRE :

* RAPPELS SUR LES BÉATITUDES

* PRÉPARATION DE LA RENCONTRE DU 19 DÉCEMBRE 2015    

   - Mime de la chanson "Allons semer" du Père Mathieu Malonga 
   - Préparation pour l’accueil des personnes âgées avec les textes, les chants de présentation
   - Création d'une carte d'accueil aux personnes âgées
   - Mise en place de travaux manuels pour offrir (travaux prévus sur les pomme de pain)

* PRÉPARATION DE LA VEILLÉE DE NOËL DU 24 DÉCEMBRE 2015
 
   - Mime de la chanson "Allons semer" du Père Mathieu Malonga 




lundi 16 novembre 2015

5ème RENCONTRE : REUNION DU 14 NOVEMBRE 2015




 Bienvenue à tous sur le blog de la Jeunesse Mariale Vincentienne du Lamentin en Martinique.
Ce blog a été créé afin de faire connaître l’histoire de la JMV et découvrir les activités et les actions de la JMV de la paroisse du Lamentin en Martinique.

4ème RENCONTRE : REUNION DU 24 OCTOBRE 2015




MOTEUR QUI TIRE, MOTEUR QUI POUSSE
Pourquoi se lancer des défis si ce n'est pour y gagner quelque chose ?? Le défi de se lancer dans la vie, c'est délirer être heureux. Il peut y avoir deux sortes de moteurs en nous : un qui pousse, un qui tire.

3ème RENCONTRE : REUNION DU 17 OCTOBRE 2015

ACTIVITÉS SUR LES BÉATITUDES ET LE BONHEUR :

Les Béatitudes de Jésus (Mathieu 5, verset 3-12)


  • Heureux les pauvres de cœur, car le Royaume de Dieu est à eux !
  • Heureux les doux: ils obtiendront la terre promise !

VIVONS UN APPEL OUI MET EN ROUTE : MERE TERESA





Gonxha Bojaxhiu est une jeune fille né en 1910 dans les Balkans. A 18 ans, poussée par le désir de devenir missionnaire, elle entre dans la communauté des Sœurs de Lorette. Après sa formation elle est envoyée à Calcutta en Inde pour enseigner auprès de filles de bonnes familles. Mais Dieu n'appelle pas qu'une fois pour toutes !

BONHEUR : JÉSUS MAITRE ACCOMPAGNATEUR



Depuis toujours, l'humain cherche le bonheur. Beaucoup de livres dans les librairies traitent de ce sujet. Par contre quelle diversité sur le sens du bonheur ! Actuellement, il est surtout tourné sur soi-même, sur l'épanouissement personnel ! On le recherche dans la facilité, par des solutions rapides mais elles ne vont pas loin et on devient vite déçu.

2ème RENCONTRE : REUNION DU 10 OCTOBRE 2015




Nous avons de plus grands bâtiments mais de plus petits tempéraments, des autoroutes plus larges mais des points de vue plus étroits.

1ère RENCONTRE : REUNION DU 03 OCTOBRE 2015



 RENTRÉE 2015 - 2015 DE LA JEUNESSE MARIALE 
VINCENTIENNE DU LAMENTIN :
ACCUEIL / THÈME / DÉCOUVERTE / OBJECTIFS